Voici une petite fiction de ma création, j'espère qu'elle vous plaira. ;)

Mïnor et Mänor :

Il était une fois dans les longues plaines d'Enewaith un village dont le roi était bon et loyal. Ce village ce nommer Enewen . Il vivait en paix depuis des milliers d'années avec les autres peules libres deLa Terre Du Milieu, et marchandait beaucoup avec le peuple de Rohan qui était, à ce temps gouverné par Brego.

Le roi de cette ville, Dähor, avait deux fils : Mïnor et Mänor. Tout deux étaient jeunes et magnaient l'épée et l'arc parfaitement. Mïnor était le commandant de l'armée bien qu'elle ne soit pas très grande. Mänor lui était la plus par du temps dans les plaines, guettant les traces ennemis, car toute les chose ont une fin et la guerre risquait d'éclater.

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Une nuit, le village fut attaqué par des Gobelins venant du nord. Ils étaient terribles car ils venaient avec des haches, du feu et des trolls !

Ils lançaient sur les maisons leurs flambeaux se qui brûlait tout. Leurs trolls détruisaient, eux aussi, les huttes grâce à leurs énorme massue. Voilà comment le peuple fut massacré et les récoltes brûlées. Même le Roi n'avait put survivre, Mänor avait pourtant essayé de le secourir face aux trolls mais il arriva trop tard, le roi était mort.

Seul quelque villageois ainsi que Mïnor et Mänor avaient survécu, ils étaient accablé de chagrin fassent à toute ces pertes. Alors, ils partirent vers le nord, longeant la rivière de GreyFlood.

Au fur et à mesure qu'ils avançaient, les quelques villageois qui avaient survécus s'arrêtaient dans de pauvres villages se trouvant sur leurs route. Ils espéraient s'y installer et y trouver un meilleurs destin que celui qui attendait Mïnor et Mänor.

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Les deux jeunes frères, eux, avaient continuaient leur route jusqu'à Eharsad, le village se trouvant sur la route de Sreenway en venant de l'ouest. Ils s'arrêtèrent a une auberge où ils y passèrent près d'une semaine car en vérité ils ne savaient pas encore se qu'ils comptaient faire.

Ce village était peuplé d'Homme qui travaillaient beaucoup sur les champs et sur la rivière. Ils pouvaient y trouver un bon nombre de chose comme par exemple, des pièces d'or ou des perles car on racontait, jadis, que ce peuple possédait un trésors qui avaient été engloutit par la rivière (quelque anciens du village racontaient aussi que c'était la rivière qui avait décidée par elle même de tout engloutir par jalousie, ce qui paraissait assez improbable même en ce monde qu'est la Terre du Milieu).

Mais revenons donc a nos deux frères. Il devait être près de six heures du soir alors qu'ils s'apprêtaient à ranger leurs affaires pour leur départ, le maître de l'auberge vint frapper leur porte :

« - Bonjour jeunes gens, il y a en-bas un homme qui désire vous parlez dois-je le faire entrer ? »

Mïnor et Mänor qui n'attendaient pas de visite, descendirent eux même voir l'homme.

Pour eux, il n'avait l'air que d'un vieil homme vêtu d'une longue cape et d'un capuchon bleu, aux sourcils broussailleux et aux yeux perçants. Mais en vérité cet homme était Alatar, le magicien bleu, peu connut en Terre du Milieu bien que vous le verrez, il eu servi grandement pour cette aventure (si on peut l'appeler de la sorte).

Or donc les deux frère assez surpris de trouver se vieillard et ne sachant que faire, l'invitèrent donc à s’asseoir et à prendre un repas. L'homme ne se fit pas prier et avala tout ce qu'on lui donna. Quand il eut terminé, pour la première fois depuis son arrivé (mis à part les « merci » ou « délicieux » qu'il disait au serveur) il commença à leur parler :

« Ainsi donc vous êtes à la recherche d'un nouveau royaume raconte-t-on vers chez moi, le bruit a couru très vite sur l'attaque des gobelins et sur la mort de votre père Dähor. Même le Gondor est au courant, ils craignent eux aussi une attaque, bien que je ne pense pas que ce soit dans les intêrret des gobelins. »

Sur ces dernier mot il eut un petit rire sec à l'idée qu'une armée de gobelin s'attaque à un tel royaume qu'est le Gondor. Puis il s'arrêta net et repris d'un air grave :

« Depuis longtemps ces gobelins sont dans mon esprit et j'aimerai qu'ils disparaissent une bonne fois pour toute de ce monde. Et c'est pour cela que je suis ici, je vais vous aider à vous venger et a exterminer ces vermines ! »

Les deux frères se regardèrent intrigué de savoir comment un vieillard pouvait-il a lui seul gagner une guerre et même rien que d'en déclarer une paressait improbable. Ce fut Mïnor qui parla en premier car il était le plus âgé et le plus sage des deux :

« Excusez moi monsieur mais je crois que mon frère et moi même désirions plus d'information à votre sujet car nous ne comprenons pas pour quelle raison désirez-vous nous aider ! »

Le magicien, qui tout à coup se souvient qu'il ne s'était pas présenté, se redressa, et dit d'un ton plus majestueux :

« Je suis Alatar Le Bleu, et je vous aide car c'est mon devoir ! Et que vous le vouliez ou non vous viendrez avec moi ! »

Les deux frères très surpris d'entendre ces mots ne purent qu'accepter. L'aide d'un magicien et bien utile et puis après tout cela était peu être une bonne idée car ils n'avaient exactement où aller n'y quoi faire.

Le magicien fut ravit. Ils parlèrent toute la soirée de comment ils aller se débrouiller ;ce fut joyeux et à la fin, chacun remarqua que finalement ils s'appréciaient grandement.

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Le lendemain, ils partirent avant le levé du jour jusqu'au pond de Grànge où ils s'étaient donné rendez-vous. Là ils y trouvèrent donc Alatar accompagnait d'une jeune personne qui était encapuchonnée d'une longue cape verte. Ils ne posèrent pas de question à son sujet car ils faisaient entièrement confiance à Alatar. Ils marchèrent quelque jour en direction de l'est, vers les montagnes. Il ne pleuvait pas mais le ciel était gris, mais cela ne les empêchaient guère d'avancer a grande allure. Alatar avait l'air de bien connaître toute les plaines et forêts qu'ils traversaient. La nuit, chacun a leur tour ils faisaient les tours de gardes pendant que les autres dormaient. Une nuit, ils furent attaqués par une bande de brigands alors qu'ils dormaient et ce fut Thildraël (car s'était elle le perssone qui accompagnait Alatar) qui les sauva. C'était une elfe les montagnes, elle était belle et fine et son visage était jeune (bien qu'elle devait avoir près de 800 ans), ses cheveux était d'un roux brun brillant, ils était attachés par deux tresses reliées laissant ses cheveux de derrières lâchés. Elle se battait avec un arc et un poignard, son armure était faite d'un tissu souple mais solide orné de dessin d'arbres et de plantes ; elle portait aussi une cape et de longues botes lui montant juste en dessous des genoux.

Ce fut donc Thildraël qui arriva à temps pour les sauver alors qu'ils étaient entourés de brigands armés jusqu'au dents, elle tua la plupart d'entre eux et les survivants s'enfuirent. Les deux jeunes hommes la remercière et, mangeant leur déjeuné, firent plus connaissance. Et à la fin de la journée, ils chantaient et parlaient a pleine voix.

Les jours suivants se passèrent aussi gaîment. Ils traversèrent des plaines, des rivières, des collines mais ils ne trouvèrent aucun signe de vie.

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Quand notre petit groupe arriva à grande foret près des montagnes, Alatar les quitta et dis quelque chose a Thildraël en elfique qu'ils ne comprirent pas :

« Teg in na Palladon, im retrouvare ennas nedh tâd calans. »

(emmenes-les à Palladon, je vous retrouverai dans deux jours).

« Mae, répondit Tildraël »

Les deux frères suivirent l'elfe, qui visiblement connaissait bien la forêt. Elle était très gais, elle riait et chantait tout le temps entraînant les deux frères avec elle. Elle les emmena dans un endroit de la forêt qui était remplis de ruisseaux, de cascades. C'est là que Alatar les attendait, il était accompagnait d'un autre vielle homme habillait de la même façon que lui mais qui était de taille plus grande. Il se nommé Pallando. Ils allèrent dans une cabane cachée derrière une cascades, qui visiblement devait être celle des deux magiciens. Ils parlèrent pendant un moment. Pallando leur annonça qu'il avait réussi à réunir une petite armée d'homme. Mais ils n'était pas assez et ils ressemblaient tous plus à des bûcherons qu'à des soldats. Ce qui désespéra Mïnor et Mänor qui jusque là avaient trouvé tout cela fort bien

Ils décidèrent donc de demander de l'aide au peuple de Thildraël, le peuple des Elfes de Dundolin qui se trouvait dans les montagnes a cent lieux de là.

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Après quelque jours resté chez les Magiciens ils partirent. La route était dur, on pouvait facilement se perdre et quand ça arrivé on ne retrouvait jamais son chemins. Heureusement l'Elfe connaissait bien la route, elle y passer quelquefois quand elle sortait de son royaume. Celui-ci était caché au plus profond des montagnes, à l'abri du mal. Ces elfes vivaient ainsi depuis des milliers d'années, car ils était les descendants des elfes de Gondolin qui, après que leur royaume fut découvert et que leur roi, Turgon, fut tué, allèrent donc dans ces montagnes et y bâtirent Dungolin qui maintenant est gouverné par Eärendil le descendant de Turgon.

On ne pouvait y entrer, par ce côté de la montagne, que par une immense porte qui était haute d'environs cinquante mètres et large d'une vingtaine. Elles étaient en pierre et comprenaient un grand nombre de dessins tallaient dans la roche.

Thildraël s'approcha des portes et, dans un murmure accompagnait par le vent de sorte que personne ne put l'entendre, dit le mot de passe. L'immense porte s'ouvrit et une dizaine de garde en sortirent pour inspecter les voyageurs et leur demander leur identité. On les fit entrer et poser leur armes le temps qu'ils furent annoncés. Ils furent emmené devant le Roi, celui-ci était assis sur un grand trône de pierre, la pièce était froide, elle n'était éclairée que par la lumière qui sortait d'une petite cheminée. En vérité tout le palais était froid et lugubre, le sol, les mûrs, les plafonds étaient tous en pierre, il n'y avait que très peu de tapis et de tapisserie. Les pièces n'étaient pas grandes n'y hautes, elles étaient toutes en-pillé les une sur les autres comme de grandes tours, on pouvait accéder à celle du haut par de grands escaliers en colimaçons. De longs couloirs permettaient d'accéder aux pièces d'à côté.

Nos voyageurs racontèrent donc au Roi la raison de leur visite et, appréhendant la réaction du Roi, ils lui demandèrent l'aide dont ils avait besoin. Voici ce que dit Eärendil :

« Ainsi donc vous rentrez dans mon royaume en quête d'aide ! Sachez que nul Homme n'avez le droit d'y renter du temps de Findolfin et de Turgon ! Mais peu importe maintenant, j'ai vu les armés de Gobelins se préparer à l'attaque depuis des années mais je n'ai rien fait, ils vous ont massacrés et je n'ai rien fait non plus, c'est pour cela que cette guerre, nous la ferons ensemble. »

Et s'adressant à Mïnor et Mänor :

« Il y a de longues années, deux frères sont entraient dans Gondolin dans l'espoir d'aide que nous leur avons offert, nous avons combattu ensemble et en leur mémoire nous nous allierons pour combattre les Gobelins. Mais sachez aussi que leur armés n'est pas formé que de ces immondes créatures, comme vous avez pu le voir ils ont des trolls, mais pas que cela, ils possèdent aussi des créatures qu'ils ont découvert dans les profondeurs des montagnes, des bêtes monstrueuses, grosse comme deux trolls, leur regard tut sur le coup. Rassurez-vous, ils n'en on que deux comme cela, mais cela suffit pour massacrer notre armé. »

« Ils sont déjà en marche, il nous faut être prêt dans trois jours, après nous partirons les surprendre. »

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Durant les trois jours, ils suivirent les instructions du Roi. Ils firent aussi tous les plans d'attaques. Mïnor les aida pour cela car en tant que général il connaissait bien les tactiques pour placer les armées.

Mänor lui accompagna Pallando chercher la petite armée d'homme. Ainsi donc, à la fin du troisième jour les armées de Dundolin partirent pour la guerre. La route fut longue et fatigante pour des soldats armés. Le temps était gris mais il ne pleuvait pas, Thildraël marchait au côté de Mïnor et Mänor. Earendil, lui chevauchait au côté des Magiciens.

La bataille commença.

Ce qui ce passa exactement nous ne le saurons pas mais quand les étendard des Elfes furent dressaient sur le champs et que les derniers gobelins fuirent dans leur caverne, de nombreux mort gisaient sur le sol. Mïnor et Mänor faisaient parti d'eux, ils s'étaient fait prendre au piège par une infinité de flèche et étaient tombés, l'un à côté de l'autre, morts.

Après cette guerres les survivants se dispersèrent, le Roi Ealendil était mort lui aussi, voulant sortir les jeunes frères de leur mort certaine, mais cela ne servit à rien.

Personne de revint à Dundolin, le roi en avait décidé ainsi sous ses dernières paroles avant la bataille.

Thildraël alla à Mirkwood le royaume elfe gouvernait par Thranduil. Elle donna naissance à une fille, Tauriel, mais mourrut quelque années plus tard, elle ne s'était jamais remis de la mort de ses amis : Mïnor et Mänor.

On raconte que Pallando et Alatar partirent dans l'Est mais on ne les revit jamais.

Ainsi donc se termine le destin de Mïnor et Mänor et de leur royaume jamais reconquit.

FIN

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Fiction

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